Ouagadougou, 13 juillet 2024 – Dans le cadre de la sixième édition du Salon International de l’Arbre (SIA), une opération de reboisement a été officiellement lancée ce samedi 13 juillet à Silmig Yiri, un quartier de Ouagadougou. Cet événement marque le coup d’envoi d’une série d’activités prévues du 17 au 20 juillet 2024 au Parc Bangr-Weogo.
Le Burkina Faso célèbre la 6ème édition de la Journée nationale de l’arbre (JNA) le 22 juin 2024 à Bobo-Dioulasso, dans la région des Hauts-Bassins. Cette célébration, qui se tient habituellement en août, a été avancée cette année en raison des prévisions météorologiques annonçant une saison pluvieuse précoce. À cette occasion, un regard rétrospectif sur les campagnes de reboisement des onze dernières années s’impose.
À l’occasion de la Journée Mondiale de l’Environnement, le Burkina Faso célèbre cette année sous le thème national « L’avenir de nos terres : quelles synergies pour la restauration et la résilience à la sécheresse. » Ce thème fait écho à la thématique mondiale de cette édition, « La restauration des terres, la désertification et la résilience à la sécheresse », et met en lumière les défis et les opportunités spécifiques du pays.
Le Burkina Faso, pays sahélien d’Afrique de l’Ouest, fait face à d’importants défis environnementaux et agricoles. La variabilité climatique, la dégradation des sols et la croissance démographique exercent une pression considérable sur les ressources naturelles et la sécurité alimentaire. Dans ce contexte, les semences de variétés améliorées de plantes (SVAP) se présentent comme une solution prometteuse pour renforcer la résilience des systèmes agricoles tout en contribuant à la protection et à la gestion durable de l’environnement.
Le 5 juin marque chaque année la Journée mondiale de l’environnement (JME), une occasion de sensibiliser et d’agir face aux défis urgents qui menacent notre planète. Depuis sa première célébration en 1973, cette journée est devenue une plate-forme mondiale pour lutter contre la pollution, le réchauffement climatique, la surconsommation et d’autres problèmes environnementaux.
Du 23 au 29 avril, Ottawa sera le théâtre d’un rendez-vous crucial pour l’environnement mondial. La quatrième session du Comité intergouvernemental de négociation (CIN-4) se tiendra au Centre Shaw, réunissant des délégués du monde entier dans un effort concerté pour avancer vers un accord mondial visant à combattre la pollution plastique d’ici la fin de 2024.
Alors que le monde se rassemble pour célébrer la Journée mondiale de la santé le 7 avril, le thème de cette année, « Ma santé, mon droit », invite à une réflexion profonde sur les liens indissociables entre la santé humaine et l’état de notre environnement. Dans cet article, nous explorerons l’importance cruciale d’une gestion environnementale efficace pour garantir le droit fondamental à la santé pour tous.
Aujourd’hui, le monde se rassemble pour marquer la Journée internationale du zéro déchet des Nations Unies, une occasion de réfléchir à l’urgence de la crise mondiale des déchets et d’encourager des actions concrètes vers un avenir plus durable. Avec 2,7 milliards de personnes privées d’un accès adéquat à la collecte des déchets solides et seulement 61 à 62 % des déchets municipaux gérés dans des installations contrôlées, la nécessité d’agir est plus pressante que jamais.
Dans un monde où le climat se réchauffe de manière alarmante, où les vagues de chaleur sont devenues monnaie courante, la nécessité de la fraîcheur pour une vie saine et du froid pour la conservation des produits périssables est devenue impérative. Depuis l’avènement du premier réfrigérateur domestique aux États-Unis en 1913, suivi de sa production industrielle dans les années 1930, et l’invention du premier climatiseur moderne par Carrier en 1902, ces technologies ont révolutionné nos vies.
Dans un monde confronté à des défis environnementaux de plus en plus urgents, les chrétiens sont appelés à intégrer la protection de l’environnement dans leur pratique de la foi. Cette responsabilité découle de la conviction que la création de Dieu est sacrée et qu’elle mérite d’être préservée et protégée. À travers les enseignements bibliques, les chrétiens peuvent trouver des fondements solides pour une action environnementale responsable et réfléchie.
